La Moudawana, réforme majeure du code de la famille au Maroc, a marqué un progrès significatif en faveur des droits des femmes et des enfants. Toutefois, de nombreux défis subsistent, notamment en ce qui concerne le mariage précoce des mineurs, une question qui continue de préoccuper les acteurs sociaux, les chercheurs et les législateurs.
Dans ce sens, M. Chakib Guessous, éminent sociologue et expert en droits de l'homme, ainsi que la Professeure Meriem Regragi, enseignante-chercheuse à l’École de Droit de l'UIR, ont apporté des éclairages précieux sur les implications sociales, légales et culturelles du mariage précoce des mineurs au Maroc.
Porté par Sciences Po Rabat, cet évènement a été co-organisé avec son Club Sciences Po-UIR, une organisation étudiante dynamique dédiée à l'engagement civique, au débat intellectuel et à la sensibilisation aux enjeux politiques.
